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Les Cahiers Musidora et rééditions

Les Cahiers Musidora  N2, N3, N4, N5 et N6 sont disponibles au siège des Amis de Musidora. Après le retour à une situation sanitaire normale, ils seront disponibles au Café de la Gare à Bois le Roi, à la librairie La Lucarne des écrivains (Paris 75019), à la librairie de la Cinémathèque française (Paris).

Il sera en vente à chacune de nos manifestations ou sur demande : musidora.boisleroi@gmail.com

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La Vie Sentimentale de George Sand
             Prix public 24,90€ plus port
 
MUSIDORA

 

« En 1924, quand Cañero l’avait abandonnée, Musidora était devenue une ombre. Il lui avait fallu des années, un mariage et un enfant, pour enfin reprendre goût à la vie. Et voilà qu’au début des années 1940, son mari à son tour s’éloigne, son pays est vaincu et humilié, sa famille en sursis… Va-t-elle de nouveau sombrer ? Se plonger dans la vie légendaire de George Sand, en tirer les répliques d’une pièce de théâtre, rêver de la jouer est pour Musidora une façon de se soustraire d’un quotidien désespérant. Ecrire sur George Sand ? Oui, mais pas un simple récit. Musidora veut devenir George Sand elle-même, cette femme invaincue, sur une scène, en public, le temps d’une représentation ! Puis se laisser envahir chaque soir par la force de George Sand. Admirez ses gestes et surtout, sous l’encre des dialogues, écoutez sa voix ».
La Vie Sentimentale de George Sand est la pièce la plus ambitieuse que Musidora ait jamais écrite. En gestation depuis 1941, elle en a remanié le texte durant six ans (et quelles années, celles de l’Occupation et de la Libération !) jusqu’à la version définitive de 1946 qui sera celle présentée sur la scène du Théâtre de l’Humour et qui fait l’objet de cette nouvelle édition. Pour prendre la mesure des transformations apportées par Musidora à son texte, vous découvrirez à la suite de la pièce une scène inédite, « Noémie et l’antiquaire », écrite en 1941, extraite de la première version que Musidora avait alors soumis à l’approbation d’Aurore Sand et de Colette.

Pascal Roques est membre de la première heure des Amis de Musidora. Ce collectionneur s’est passionné pour cette Jeanne qui, bien que sans lien de parenté, portait le même nom que lui. C’est tout naturellement que nous l’avons choisi pour contextualiser et approfondir cette nouvelle édition de La Vie Sentimentale de George Sand.

Yvon Dupart, Président des Amis de Musidora
 

Nouveau : réédition de
La Vie Sentimentale de George Sand

Cahiers Musidora N° 6
Musidora de 1937 à 1948
 

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Cahiers Musidora N°6

 

Dans ce sixième Cahiers, nous détaillons une décennie de la vie de Musidora : 1937-1948.

 

En 2009, notre rencontre avec Monique Vuong, cousine par alliance.de Zazou, fut pour nous la première occasion de découvrir la vie de Musidora à Châtillon-sur-Marne.

Puis vinrent deux témoignages spontanés :

- Celui de Guy Malvaux, meilleur ami d’enfance de Zazou, le fils de Musidora.

- et celui d’Alain Lavigne, dont le père, résistant et déporté fut un grand ami du docteur Clément Marot.

Les lettres de Colette à Musidora publiées par Gérard Bonal, nous permettent de suivre la séparation violente des époux Musidora-Marot. Colette, divorcée deux fois, lui prodigua ses conseils.

Informé des graves difficultés financières qui accablaient Musidora, Henri Langlois décida de la recruter et la nomma Secrétaire de la Commission de Recherches Historiques de la Cinémathèque française naissante). Emilie Cauquy évoque pour nous le rôle de Musidora dans cette CRHCF.

Pendant toute cette période, Musidora continua d’écrire et de relancer sa carrière. Pascal Roques nous présente : Musidora, 10 ans avec George Sand (et Aurore) (1941-1950). De l’écriture de La Vie sentimentale de George Sand à la pièce de théâtre.

Anne Bléger résume pour les Amis de Musidora la thèse qu’elle a soutenu brillamment et qui comporte de nombreuses références à Musidora : Femmes, cachez cette arme que l'on ne saurait voir ! La représentation de la violence féminine dans le cinéma français des années 1920.

Comme dans chaque Cahier, Michel Saussol, notre secrétaire-webmestre et maquettiste résume et illustre les principales activités de l’association pendant cette dernière année.

 

Yvon Dupart, Président des Amis de Musidora

Prix public : 24€ plus port

Cahiers Musidora N° 5 
Musidora après le cinéma (1927 - 1937)

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Dans ce cinquième Cahiers, nous détaillons une décennie de la vie de Musidora : 1927-1937. Après le cinéma, elle concrétise et poursuit son œuvre de création dans de nombreux autres domaines artistiques.

Elle est revenue d’Espagne en 1926, ruinée et le cœur brisé. En véritable Inspecteur, Pascal Roques mène l’enquête. Il nous plonge dans les arcanes de la vie trépidante de Musidora qui, après le cinéma, a décidé de se relancer au théâtre.

Pendant la période de 1928 à 1937, Musidora, tout en continuant à se consacrer au théâtre, va connaître enfin, à trente-huit ans, les joies du mariage puis de la maternité. Mais cette période de joies familiales, est entrecoupée du deuil successif de ses deux parents. A l’occasion du décès de son père Jacques Roques et de ses obsèques à Bois-le-Roi, vous lirez ses lettres et découvrirez les dons qu’elle va faire à la « Mairie-Musée » de la commune, les partitions de Jacques Roques. 

Grâce à la Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique (SACEM) dont Jacques Roques et Musidora étaient membres, nous avons la confirmation que le père de Musidora était un musicien de premier plan, reconnu au plus haut niveau à son époque.

Découvrons aussi un récapitulatif des chansons de Musidora : celles qu’elle aimait interpréter (Du comique troupier de la Grande Guerre aux chansons réalistes d’Aristide Bruant), celles dont elle a écrit les paroles, mais aussi celles dont elle a composé les paroles et la musique.

Georges Miroux a lu notre réédition de Paroxysmes, de l’amour à la mort (1934). Il nous livre son sentiment dans : « Musidora, l’Espagne et moi ».

Lors de la magnifique rétrospective Musidora à la Cinémathèque française : Rendez-nous Musidora, encore ! du 3 au 12 janvier 2020, 34 films, avec ou de Musidora, ont été projetés. Il nous a paru utile de la faire figurer en annexe de la présentation de la rétrospective parisienne publiée par Emilie Cauquy sur le site de la Cinémathèque française.

A cette occasion, Rachel Guyon (Médiathécaire à la Cinémathèque française), a mis en ligne un très bel article « Signé Musidora » qui présente « La Tierra de los toros : spectacle total ». Elle  détaille aussi les ressources disponibles à la bibliothèque de la Cinémathèque française ; nous les reproduisons à l’intention des étudiants et chercheurs.

Comme dans chaque Cahier, Michel Saussol, notre secrétaire-webmestre et maquettiste résume et illustre les principales activités de notre association pendant ces deux dernières années.

Prix public : 24€ plus port

Paroxysmes, de l’amour à la mort 

 

Musidora actrice, réalisatrice, dessinatrice mais, aussi écrivaine...

Les Amis de Musidora viennent de rééditer Paroxysmes, de l'amour à la mort, roman de Musidora paru en 1934 aux éditions Figuières, témoignage bouleversant de son aventure espagnole.

Cette nouvelle édition permettra au plus grand nombre d'apprécier cette facette de Musidora qui ne manquera pas de vous surprendre.

 

Nous contacter si vous souhaitez acquérir cet ouvrage :

musidora.boisleroi@gmail.com 

Disponible également à la librairie Contes et Lectures 3 place Gare 77590 Bois Le Roi

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Cahiers Musidora N° 4 
 Musidora les a dessinés, caricaturés, peints...
Elles et ils ont dessiné, caricaturé, peint Musidora
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Musidora est beaucoup moins connue pour ses dessins ou ses peintures. Pourtant, dès son enfance, Musidora se montre douée pour le dessin, art qu'elle perfectionne aux Cours Frémiet et à l'Académie Julian. Cette disposition artistique lui a permis de nous laisser de multiples témoignages tout au long de sa vie familiale, de sa vie d'artiste et de ses rencontres.

Nous avons choisi de vous présenter quelques-unes des plus belles créations de Musidora. La plupart sont des dessins très personnels qu’elle a soigneusement classés dans son Album intime. Vous allez découvrir ses dessins d'études (Cours Frémiet, Académie Julian, et Concerts Colonne), des dessins sur des supports inattendus (ordonnances, enveloppes, petits billets, programmes...), Les aventures de Bella (un conte prémonitoire), sa famille, ses amies de Bois-le-Roi, des autoportraits, ses partenaires au music-hall (La pie qui chante, le Bataclan, Les Folies Bergère, les tournées Charles Baret...), mais aussi Aragon, Breton, Colette et Les Claudine,…

Musidora a aussi inspiré de son vivant les artistes qui ont croisé sa route (Guy Arnoux, Charles Martin, Julio Romero de Torres, René Carrère,…). Cet engouement s’est prolongé après sa mort en 1957 et dure encore en 2020 (de Claire Bretécher, Jean-Claude Carrière,… à Fontaine de la Mare "sculpteur de pierres et de mots", Annie-Christine Blanloeil artiste plasticienne, et Jackson KS  artiste péruvien). Nous détaillons de nombreuses œuvres de celles et ceux qui ont immortalisé Musidora. Chaque élément présenté est contextualisé et approfondi grâce aux recherches des contributeurs.

- Paul Sztulman, Enseignant d’histoire et de théorie de l'art à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, a bien voulu analyser pour nous les dessins de Musidora. Il nous gratifie aussi d’un article très érudit explicitant la continuité de Giorgione, Le Titien, Manet jusqu’à Julio Romero de Torres… de Vénus, Olympia à Musidora.

- Emilie Cauquy, responsable de l'accès et de la valorisation des collections films, nous présente un des multiples trésors de la Cinémathèque française : le portrait de Mme Méliès (Jehanne d’Alcy) que Musidora a réalisé lors de sa visite en 1948.

- Anne Bléger, doctorante à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, analyse pour nous «  Le regard apache de Musidora  » dans un article qui devrait faire date.

- Pascal Roques nous présente une recherche très approfondie sur René Carrère qui a peint Musidora et a aussi partagé une période de sa vie, participé à ses films avant de devenir à son tour producteur et réalisateur de cinéma.

- Matthieu Menanteau, Directeur Adjoint du Centre Paris Anim’ Musidora, nous explique pourquoi et comment la ville de Paris a choisi le nom de Musidora dans un article plein d’allant qu’il intitule « Viva Musidora ! »

Vous apprécierez aussi les contributions des érudits bacots et seine-et-marnais qui ont beaucoup œuvré pour nous éclairer : Michèle Saliot, Georges Miroux, Bruno L'Herminier, Martine Turri, Patrick Delvert, Rita Le Lons et Corine Tabourot, Françoise et Daniel Vrac, Claude Dupart et Michel Saussol.

 

Prix public : 24€ plus port

Cahiers Musidora N° 3
Musidora, pionière et reine du cinéma
(1916-1926)
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Ce Cahiers Musidora N°3 s’attache à vous présenter Musidora pionnière et reine du cinéma. Il vous permettra de découvrir la vie de Musidora de 1916 à 1926 et les personnalités exceptionnelles qu’elle a côtoyées : Colette, Pierre Benoit, Jaime de Lasuen, Antonio Cañero,… Vous découvrirez l’ardeur, l’énergie et le talent qu’elle a dû déployer pour devenir la troisième femme réalisatrice de cinéma après Alice Guy et Germaine Dulac. C’est pendant cette période qu’elle va réaliser en Espagne une trilogie de films qui constituent ses œuvres majeures : Pour Don Carlos (1920), Sol y Sombra 1922), La Tierra de los toros (1924).

Il m’est revenu le soin de choisir, dans le très grand nombre de documents qui sont parvenus jusqu’à nous (lettres, dessins, photos, revues, livres, films, témoignages, émissions radiophoniques…), ceux qui auraient semblé les plus pertinents à Musidora, pour nous conter sa vie cinématographique pendant cette période.

Francesca Bozzano de la Cinémathèque de Toulouse, nous explique la restauration-reconstruction du film Pour Don Carlos. Elle œuvre depuis 2014 à la restauration de ce film. Pour faire aboutir ce projet ambitieux, elle a travaillé en étroite collaboration avec Céline Ruivo, de la Cinémathèque française, et avec Robert Byrne, président du San Francisco Silent Film Festival.

Céline Ruivo, nous expose ensuite la deuxième restauration du film Sol y Sombra qu’elle a supervisée avec Robert Byrne. Émilie Cauquy, de la Cinémathèque française s’attache à nous montrer que : « …Les archives de Soleil et Ombre permettent de confirmer la cinéaste complète de 1922, qui écrit, produit, tourne, incarne des idées originales et indépendantes. »

Pascal Roques nous présente ensuite une biographie de Jaime de Lasuen, Jacques Lasseyne pour les français : Jaime a travaillé avec Musidora à la réalisation de deux de ses plus grands films, Pour Don Carlos et Soleil et Ombre et, quelques années plus tard, lui a inspiré aussi le personnage principal de son premier roman En Amour tout est Possible.

La Tierra de los toros, film de Musidora, réalisé en 1924, est analysé par Marién Gómez Rodríguez, doctorante à Paris III, Université Sorbonne Nouvelle en cotutelle avec l’Université Jaume I de Castelló de la Plana (Espagne). Elle termine sa thèse intitulée : La représentation de l’Espagne dans le cinéma français de 1919 à 1931. « … Ce film  est presque un documentaire, … un hybride de documentaire, de fiction et de spectacle en direct. »

Michel Saussol, le maquettiste de ce cahier qui gère aussi notre nouveau site, résume et illustre les principales activités de notre association depuis la dernière édition.

La lecture de ce troisième Cahiers Musidora est recommandée avant (ou après) le visionnage des deux films de Musidora restaurés cette année : Pour Don Carlos et Sol y Sombra.

 

Prix public : 24€ plus port

Cahiers Musidora N° 2
Musidora, Colette, Feuillade, le cinéma
et la Grande Guerre
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Ce Cahiers Musidora N°2, s’attache à vous présenter la période de la guerre 1914 – 1918 ; publié l’année du centenaire de l’armistice, il contribuera, nous l’espérons, à vous éclairer sur les répercussions de ce premier conflit mondial sur la vie quotidienne et cinématographique de notre pays. Il m’est revenu la lourde tâche de synthétiser pour vous cette période particulièrement dense de la carrière de Musidora, en lien avec Colette, Feuillade et le cinéma pendant la Grande Guerre. Nous verrons comment le personnage mythique de Musidora est déjà bien installé dès la fin de la guerre.

Martine Turri vous détaille le rôle joué par « Musidora marraine de guerre » (même Louis Feuillade l’exhorta à être « La dame de la Croix-Rouge pour blessés du cafard ») ; elle vous présente un florilège contextualisé des lettres envoyées par les aviateurs à Musidora.

 Grâce aux travaux de l’historien du cinéma Laurent Véray qui nous fait l’honneur de participer à ce numéro, vous découvrirez pourquoi on peut dire que « Musidora a été la première star patriotique du cinéma français ».

 Enfin, l’historienne néerlandaise Annette Förster vient de publier en 2017 l’édition de sa thèse de 2005 : Women in the Silent Cinema, Histories of Fame and Fate (560 pages entièrement rédigées en anglais). Cette publication est la première étude sur « Musidora actrice, réalisatrice et femme de lettres » publiée hors de France. Annette Förster nous propose une présentation de son ouvrage, en français, spécialement destinée aux Amis de Musidora.

Michel Saussol qui gère notre blog, vous présente une synthèse des principales activités de notre association depuis l’édition du précédent cahier. Vous pourrez ainsi apprécier, entre autres, l’ensemble des actions réalisées à l’occasion du 60ème anniversaire du décès de Musidora (créations poétiques, aquarelle, haïkus, édition d’un timbre, de cartes postales « maximum »…).

 

Ce deuxième cahier est abondamment illustré avec des photographies rares, des dessins inédits, extraits très souvent de L’album intime de Musidora. Comme elle a beaucoup écrit tout au long de sa vie (articles de presse, nouvelles, livres, …), très souvent, c’est Musidora elle-même qui nous raconte sa vie d’artiste : un témoignage exceptionnel.

Yvon Dupart

Cahier N°2 : Prix public 20€ plus port

 

Cahiers Musidora N° 1
De Jeanne Roques à Musidora
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Epuisé

Ce premier cahier  s’attache à présenter l’association des Amis de Musidora et à détailler l’enfance et la jeunesse de Jeanne Roques. Il est largement illustré de dessins et de photographies extraits de l’Album intime de Musidora, inédit jusqu’à ce jour. C'est très souvent elle-même qui nous raconte sa vie d’artiste.

Zazou, ou son diminutif le Zaz, était le surnom donné à Clément Marot-fils par sa mère Musidora ; elle l’avait surnommé ainsi afin de le différencier de son époux, Clément Marot-père.

Ce premier numéro des Cahiers Musidora lui rend hommage. Vous allez découvrir le témoignage de Marie-Claude Cherqui, petite-cousine de Zazou, à travers les souvenirs de son enfance et de ceux transmis par Meryem Cherqui, et Monique Vuong, les nièces de Musidora, qui partagèrent l’enfance de Zazou aux côtés de sa mère.

Le Docteur Daniel Vrac, le grand ami du Zaz, a su trouver les mots pour décrire la complicité qu’il noua avec lui depuis l’installation de son cabinet dentaire à Bois-le-Roi, dans les années 1960, jusqu’à son décès en 2010. Un accident vasculaire cérébral ayant condamné Clément Marot-fils au fauteuil roulant durant les trente dernières années de sa vie, c’est son épouse, Françoise Vrac, qui servit de secrétaire au Zaz jusqu’à son dernier jour.

 

Je vous raconterai ensuite le concours de circonstances qui préluda à la création en 2013 de l’association, « Les Amis de Musidora » et nous amena à la naissance de ces Cahiers Musidora.

 

Enfin, grâce aux illustrations extraites de « l’Album intime de Musidora » que son fils nous a légué, aux archives familiales, aux collections particulières et à nos recherches, nous avons le plaisir de vous détailler dans ce Cahier n°1, l’enfance (« … mon papa est pauvre, mais c'est un artiste,… ma mère fut la première femme candidate aux élections du 5ème arrondissement… ») et la jeunesse de Musidora (de Jehanne de Paris à Musidora, le cours Frémiet, l’Académie Jullian,… les Folies Bergère,…).

Yvon Dupart

Cahier N°1 : Prix public 18€ plus port

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